Nul
esprit sain n’habite cette maison depuis que j’ai perdu la raison.
Entends-tu
les pas de cette éternelle danse qui résonnent depuis que je déraisonne ?
Pensées
noires et grises se mêlent au rouge de mes joues lorsqu’enfin j’embrasse sa
beauté ;
Son
image est mon reflet, mon reflet est son image,
Oh
doux présage, j’attends l’instant où la lutte prendra fin.
Cessons
le combat et bientôt nous ne ferons plus qu’un,
Écoute
cette musique et entre dans la danse,
Viens
à moi, ma tendre démence.
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